Larevue 60 millions de consommateurs dans son N°465 de Novembre 2011 a publiĂ© les rĂ©sultats d’un test de 8 dispositifs de gĂ©olocalisation destinĂ©s aux personnes dĂ©sorientĂ©es et notamment aux malades Alzheimer. Ce test a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par l’Institut National de la Consommation, en partenariat avec le soutien de la Fondation MAIF. Les rĂ©sultats des
Les risques de chute augmentent avec l’ñge et reprĂ©sentent un rĂ©el enjeu en matiĂšre de santĂ© publique. Alors que les chiffres sont inquiĂ©tants, il est toutefois possible d’attĂ©nuer ou d’écarter les risques de chute. Les seniors sont les plus exposĂ©s au risque de chute, avec le constat suivant Chaque annĂ©e, les chutes touchent un tiers des personnes ĂągĂ©es de 65 ans et plus vivant Ă  domicile. PrĂšs de 35 % des 65-80 ans et 55 % des plus de 90 ans. Ces accidents sont la premiĂšre cause de mortalitĂ© par traumatisme. On dĂ©nombre 12 000 dĂ©cĂšs par an sur 2 millions de chutes chez les personnes ĂągĂ©es. 40 % des personnes hospitalisĂ©es aprĂšs une chute ne peuvent plus retourner vivre Ă  leur domicile. Ces Ă©vĂ©nements, plus frĂ©quents chez les personnes trĂšs ĂągĂ©es et les femmes, sont tout de mĂȘme Ă©vitables lorsque l’on sait identifier les facteurs de risques et mettre en place des solutions adaptĂ©es. Si les effets du vieillissement sont inĂ©vitables, tous les individus ne sont pas touchĂ©s de la mĂȘme maniĂšre le niveau d’activitĂ©, l’état de santĂ© et le niveau de dĂ©pendance de deux personnes du mĂȘme Ăąge peuvent ĂȘtre trĂšs diffĂ©rents. Pour que la prĂ©vention soit efficace, il est important d’identifier tous les facteurs de risques pour chaque individu. Par ailleurs, si la personne est dĂ©jĂ  tombĂ©e, les risques de rechuter sont multipliĂ©s par vingt.
Selonune Ă©tude de 2017 de l’association Les Petits FrĂšresdes Pauvres, en France, 900 000 personnes ĂągĂ©es de 60 ans et plus sont isolĂ©es de
Combien coĂ»te un systĂšme de tĂ©lĂ©assistance ?Les coĂ»ts comprennent les frais d’installation et de maintenance du dispositif de tĂ©lĂ©assistance, auxquels il faut ajouter un abonnement au service. Ils sont dĂ©ductibles des impĂŽts sous conditions de frais d’installation du matĂ©riel varient de 30 Ă  60 € environ, et l’abonnement coĂ»te de 25 Ă  40 € par mois et par frais sont dĂ©ductibles des impĂŽts dans le cadre des avantages fiscaux liĂ©s aux services Ă  la personne. Il faut donc s’assurer au prĂ©alable que le prestataire bĂ©nĂ©ficie d’un agrĂ©ment de l’Agence Nationale des Services Ă  la Personne ANSP.> DĂ©couvrez notre service Unaide Clara, la tĂ©lĂ©assistance nouvelle gĂ©nĂ©ration ! Le souscripteur au service de tĂ©lĂ©assistance est imposableSi le souscripteur au service de tĂ©lĂ©assistance est imposable, il bĂ©nĂ©ficie d’une rĂ©duction d’impĂŽt Ă©gale Ă  50 % des sommes versĂ©es pour les services Ă  la personne, dans la limite de 6 000 € par an, soit une dĂ©pense rĂ©elle de 12 000 €/an maximum. Ce plafond peut ĂȘtre relevĂ© en fonction de l’ñge, de la situation familiale, d’un handicap ou du nombre d’enfants Ă  souscripteur au service de tĂ©lĂ©assistance n’est pas imposableSi le souscripteur au service de tĂ©lĂ©assistance est une personne active non imposable, il bĂ©nĂ©ficie d’un crĂ©dit d’impĂŽt de 50 % des sommes sont les questions Ă  poser pour choisir un prestataire de tĂ©lĂ©assistance ?En posant les bonnes questions, on s’assure de choisir un prestataire et un dispositif de tĂ©lĂ©assistance correspondant Ă  ses se dĂ©clenche le systĂšme ?Plusieurs types de dĂ©clenchements existent Par pression sur un bouton placĂ© sur un boĂźtier ;Par pression sur un bouton placĂ© sur un bracelet ou un pendentif ;Automatique en cas d’immobilitĂ© prolongĂ©e de la personne ou avec dĂ©tection d’une chute ;DĂ©clenchement au souffle, Ă  l’effleurement ou Ă  l’écrasement pour les personnes handicapĂ©es ;Autres temporisateur sous matelas, dĂ©tecteurs d’incendie ou de monoxyde de carbone, est alimentĂ© le systĂšme ?L’alimentation Ă©lectrique peut ĂȘtre fournie par Un branchement sur secteur ;Une batterie seule ou en relais du secteur Ă©lectrique en cas de panne.Le systĂšme fonctionne-t-il avec tous les types de ligne tĂ©lĂ©phonique ?Une prise tĂ©lĂ©phonique est en gĂ©nĂ©ral indispensable au fonctionnement du systĂšme de principe, les systĂšmes de tĂ©lĂ©assistance sont compatibles avec les lignes tĂ©lĂ©phoniques ADSL haut le cas des lignes tĂ©lĂ©phoniques fournies par les opĂ©rateurs du cĂąble, il faudra s’assurer au prĂ©alable qu’elles sont adaptĂ©es au transfert de donnĂ©es autres que la existe la tĂ©lĂ©assistance en dĂ©groupage total, le GPRS fonctionne sans ligne tĂ©lĂ©phonique RTC, ni abonnement France essayer le systĂšme avant de souscrire l’abonnement pour un an ?Certains prestataires proposent des dĂ©monstrations un test n’est pas possible, il faut garder Ă  l’esprit que le souscripteur bĂ©nĂ©ficie d’un dĂ©lai de rĂ©tractation de 7 sont les domaines d’intervention gĂ©rĂ©s par le prestataire ?Urgence mĂ©dicale alerte des proches, des urgences ou du mĂ©decin moral Ă©coute en cas de dĂ©tresse psychologique ou d’angoisse, et alerte des Ă  domicile recherche d’un prestataire des services Ă  la un rapport de recherche de la CNSA, la tĂ©lĂ©assistance est plus une prestation sociale que mĂ©dicale. Le taux d’appel aux services d’urgence ne s’élĂšve qu’à %Il s’agit avant tout d’un outil de communication et de sĂ©curisation est la portĂ©e du systĂšme ?À connaĂźtre en particulier si le souscripteur a un jardin. En moyenne, les transmetteurs ont une portĂ©e de 80 Ă  100 prestataire est-il agréé par l’Agence nationale des services Ă  la personne ANSP afin de bĂ©nĂ©ficier des rĂ©ductions ou de crĂ©dits d’impĂŽt ? Si le prestataire est agréé par l’Agence nationale des services Ă  la personne ANSP, le souscripteur peut bĂ©nĂ©ficier de rĂ©ductions ou d’un crĂ©dit d’ transporter le systĂšme durant ses vacances ?En principe, en prĂ©venant le prestataire Ă  l’avance, il est possible de dĂ©placer son systĂšme de tĂ©lĂ©assistance pour l’emmener avec soi, par exemple dans une rĂ©sidence technicien viendra-t-il installer le matĂ©riel ? Cela est-il compris dans le tarif initial ?Un technicien ou un bĂ©nĂ©vole, selon le prestataire choisi, assurera l’installation et la maintenance, et cette intervention est facturĂ©e dans le de temps va-t-il s’écouler entre la demande et l’installation ?En principe, il faut compter un dĂ©lai d’une semaine Ă  dix se doucher avec le bracelet ou le pendentif de tĂ©lĂ©assistance ?Oui, les boĂźtiers sont Ă©tanches et doivent ĂȘtre portĂ©s par la personne Ă  tout moment du jour et de la nuit, y compris sous la financer un systĂšme de tĂ©lĂ©assistance ?Il existe des aides dans le cadre de l’aide sociale, que l’on appelle aussi prestations lĂ©gales », et des aides prestations lĂ©gales » les plus courantesL’allocation personnalisĂ©e d’autonomie APAL’allocation personnalisĂ©e d’autonomie APA est destinĂ©e aux personnes de plus de 60 ans, Ă  la condition qu’elles prĂ©sentent un niveau de dĂ©pendance justifiant le versement de cette demande est Ă  faire auprĂšs du Conseil gĂ©nĂ©ral de son dĂ©partement. Le degrĂ© de perte d’autonomie du patient est Ă©valuĂ© par une Ă©quipe mĂ©dico-sociale, grĂące Ă  un outil d’évaluation spĂ©cifique la grille Autonomie GĂ©rontologie Groupes Iso-Ressources AGGIR.L’APA est attribuĂ©e aux personnes les moins autonomes celles qui obtiennent un classement GIR de 1 Ă  4 sur la grille Plan d’aide personnalisĂ© PAP est Ă©laborĂ© pour les personnes de GIR 5 et prestation de compensation du handicap PCH, au titre de l’élĂ©ment DĂ©penses spĂ©cifiques ou exceptionnelles », peut aider Ă  financer l’abonnement Ă  un service de prestation est accordĂ©e sans plafond de ressource aux personnes connaissant une difficultĂ© absolue pour une activitĂ© de la vie quotidienne, ou une difficultĂ© grave pour deux activitĂ©s de la vie pour que la prestation soit attribuĂ©e, les critĂšres d’obtention doivent ĂȘtre reconnus avant les 60 ans de la personne bĂ©nĂ©ficiaire. Si tel est le cas, la prestation sera versĂ©e jusqu’à ses 75 ans. Les aides extra-lĂ©galesElles peuvent ĂȘtre versĂ©es par les organismes suivants - Caisses Primaires d’Assurance Maladie CPAM, caisses d’assurance vieillesse ou caisses d’allocations familiales CAF dans le cadre de leur action sociale ;- Mutuelles dans le cadre de leur action sociale ou de contrat d’assurance santĂ© ou de prĂ©voyance par exemple des services d’assistance Ă  la vie quotidienne ;- Certaines communes proposent des services de tĂ©lĂ©assistance pour les personnes ĂągĂ©es, le plus souvent en lien avec des associations de services de aides extra-lĂ©gales sont facultatives et sont accordĂ©es dans la limite des crĂ©dits disponibles. C’est pourquoi elles peuvent beaucoup varier d’un organisme Ă  un autre ou d’un dĂ©partement Ă  un autre. Pour connaĂźtre les conditions d’attribution de ces aides et leur montant, il faut se renseigner auprĂšs de chacun des organismes susceptible de les verser mairie, mutuelle, caisse d’assurance maladie, caisse d’assurance vieillesse et Maison DĂ©partementale pour Les Personnes HandicapĂ©es MDPH.
1patient sur 2 oublie de prendre ses mĂ©dicaments 1 ; 36% ne respectent pas la durĂ©e du traitement 2 ; La non-observance coĂ»te chaque annĂ©e 9 milliards d’Euros Ă  la France 2. Faute Ă  des traitements parfois lourds et Ă  de nombreuses prescriptions, les personnes ĂągĂ©es ont parfois du mal Ă  organiser la prise de mĂ©dicaments.
La revue 60 millions de consommateurs dans son N°465 de Novembre 2011 a publiĂ© les rĂ©sultats d’un test de 8 dispositifs de gĂ©olocalisation destinĂ©s aux personnes dĂ©sorientĂ©es et notamment aux malades Alzheimer. Ce test a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par l’Institut National de la Consommation, en partenariat avec le soutien de la Fondation MAIF. Les rĂ©sultats des dispositifs de tĂ©lĂ©assistance mobile testĂ©s E-Medicis TĂ©mo – Enligne Assistance Vega – Espace MobilitĂ© Locate Box Solo – Geocalise Saver Life – Geophone Geophone Pack SĂ©nior – Geotraceur Geo-300 – Geocalise Helpi A320 GPS – Geocalise Mobiltel GPS sont quasiment tous nĂ©gatifs. L’Institut National de la Consommation pointe du doigt des problĂšmes techniques imprĂ©cision de la localisation, faiblesse de l’autonomie des batteries
 mais surtout la qualitĂ© de service et les aspects contractuels alors que des prestataires proposent des contrats inadaptĂ©s Ă  la cible notamment sur les durĂ©e d’engagement. De nombreuses familles sont confrontĂ©es Ă  la maladie d’Alzheimer ou Ă  une maladie apparentĂ©e. Avec le vieillissement de la population et l’allongement de la durĂ©e de vie, cette pathologie est vouĂ©e Ă  se dĂ©velopper. L’amĂ©lioration de la prise en charge mĂ©dicale et sociale progresse, des services Ă  domicile et des aides financiĂšres permettent de maintenir les malades le plus longtemps possible dans leur environnement familier. Cependant les familles restent confrontĂ©es Ă  de multiples questions lorsqu’il s’agit de prendre en charge l’un de leurs proches. Faut-il le placer sous surveillance permanente ? Quel financement possible ? Les dispositifs de GĂ©olocalisation amĂšnent Ă  se questionner sur les rĂšgles d’éthique Ă  respecter Comment concilier le respect de la libertĂ© et le dĂ©sir de prĂ©server sa sĂ©curitĂ© ? Qui souscrit l’abonnement ? Que faire si la personne refuse d’ĂȘtre Ă©quipĂ©e ? Est-il acceptable de surveiller une personne Ă  son insu ? voir notamment Ă  ce sujet le Colloque sur la maladie d’Alzheimer et les nouvelles technologies, enjeux Ă©thiques et questions de sociĂ©tĂ© organisĂ© les 2 & 3 dĂ©cembre dernier Pour guider les aidĂ©s » comme les aidants », l’Institut national de la consommation INC a testĂ© huit dispositifs de gĂ©olocalisation. Ces produits et services rĂ©pondent Ă  une vraie demande mais les rĂ©sultats de l’essai sont trĂšs dĂ©cevants ». Les appareils se prĂ©sentent sous forme de mĂ©daillons, de bracelets ou de tĂ©lĂ©phones. Ils relient le porteur du dispositif Ă  une plateforme d’assistance ou Ă  une personne rĂ©fĂ©rente afin d’aider et d’engager une conversation qui permet de rassurer le porteur et de le localiser. Les rĂ©sultats de l’essai montrent que les diffĂ©rentes fonctionnalitĂ©s sont mal documentĂ©es, les assistances pas toujours disponibles, la prĂ©cision de gĂ©olocalisation trĂšs souvent modeste Ă  l’instar de la qualitĂ© des communications et de l’autonomie. Quant Ă  l’ergonomie des dispositifs, elle est jugĂ©e peu adaptĂ©e aux personnes visĂ©es. Les appareils ont Ă©galement Ă©tĂ© confiĂ©s Ă  un panel de personnes ĂągĂ©es de 60 Ă  92 ans souffrant de troubles cognitifs ou de dĂ©sorientation. Les panelistes confirment qu’il n’existe pas de matĂ©riel facile Ă  utiliser ; ils font remarquer que certains produits ressemblent Ă  un truc de malade », un bracelet carcĂ©ral ou encore Ă  un Ă©quipement canin. La plupart du temps, ces Ă©quipements sont accompagnĂ©s de contrat d’abonnement d’une durĂ©e d’un an ou plus
. Les huit contrats et prestations de services de notre Ă©chantillon ont Ă©tĂ© dĂ©cortiquĂ©s par les experts juridiques de l’INC contenu des offres, modalitĂ©s de souscription et de rĂ©siliation. Les rĂ©sultats ne sont de nouveau pas bons. Les durĂ©es d’abonnement sont trop longues et les conditions de rĂ©siliation trop restrictives. Cet essai souligne la nĂ©cessitĂ© et l’urgence d’amĂ©liorer les offres de dispositifs de gĂ©olocalisation en fixant des exigences en matiĂšre d’information de performances et de qualitĂ© de service ». Les fabricants doivent proposer des produits personnalisĂ©s, adaptĂ©s aux spĂ©cificitĂ©s de chaque personne souffrant de troubles cognitifs. Les contrats doivent ĂȘtre plus clairs sur les services comme sur les tarifs prĂ©voir des durĂ©es adaptĂ©es aux pathologies et des pĂ©riodes d’essai. » Au vu de ces rĂ©sultats, l’Institut National de la Consommation demande la crĂ©ation d’une norme pour encadrer les dispositifs de gĂ©olocalisation et assainir les contrats et la commercialisation. Interactions du lecteur
ChaqueannĂ©e, les chutes touchent un tiers des personnes ĂągĂ©es de 65 ans et plus vivant Ă  domicile. PrĂšs de 35 % des 65-80 ans et 55 % des plus de 90 ans. Ces accidents sont la premiĂšre cause de mortalitĂ© par traumatisme. On dĂ©nombre 12 000 dĂ©cĂšs par an sur 2 millions de chutes chez les personnes ĂągĂ©es. Avantde conclure un contrat, Ă©voquez avec le prestataire toutes les situations auxquelles la tĂ©lĂ©assistance pourra faire face. N’hĂ©sitez pas Ă  prĂ©parer la liste de vos questions. Demandez . 409 420 225 471 148 376 159 403

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