Jen'ai aucun droit sur cette musique Voici les liens de ma dernière vidéo Info stockEn stock sous réserve des ventes en un achat en magasin, merci de vérifier la disponibilité de cet article avec votrelibraire CLC le plus et coordonnées des librairies CLC dans la rubrique Accès aux librairies CLC. Présentation Le premier volume présente tout dabord, dans lintroduction, lenjeu de ce commentaire de tout le corpus des quatorze lettres pauliniennes. Celles-ci forment ensemble un tout organique, réalisé par une équipe ou deux de rédacteurs-éditeurs. Une partie, la plus grande, est faite de lettres authentiques. Au moins sept peuvent être identifiées comme telles Romains, 1 et 2 Corinthiens, Galates, Philippiens, 1 Thessaloniciens, Philémon. Toutefois mêmes ces lettres authentiques ont subi un travail dédition. Les éditeurs ont fait des choix, parfois écarté des lettres entières, parfois introduit un fragment provenant dune autre lettre ou même dun auteur différent de Paul. Après les lettres authentiques, voilà que certains disciples de Paul ont estimé utile et nécessaire dimiter lapôtre et de poursuivre un enseignement qui se réclame de lui, même après sa mort. On laisse Paul ainsi préciser la manière de faire dans des contextes nouveaux, postérieurs à la toute première génération. Cest ainsi que sont nées notamment les trois lettres dites Pastorales Tite, 1 et 2 Timothée. Même Ephésiens suppose une réflexion originale par rapport au Paul de lhistoire sur lEglise comme corps du Christ dans le cosmos. Tout sest fait en moins de trois générations car à Rome, vers lan 95, un auteur comme Clément de Rome, en rédigeant sa première Lettre aux Corinthiens, est témoin de lexistence de lentièreté du corpus paulinien. On aborde ensuite cinq lettres qui forment les premières lettres écrites par lapôtre pour des communautés en Macédoine, en Galatie et en Achaïe, cest-à-dire la Grèce. Lapôtre ne se contentait pas de fonder des communautés, il les visitait personnellement ou par le biais démissaires réguliers, et il envoyait des lettres qui complétaient le premier enseignement. Plus dune fois il tenait à armer ses communautés par des documents de poids quils pouvaient donner à entendre à ceux qui de lextérieur venaient jeter le trouble avec des doctrines éloignées de lEvangile reçu lors de la fondation. Paul sadapte à chaque contexte et donne à réfléchir pour tout choix de vie individuel et communautaire. A propos de l'auteur P. Benoît Standaert est moine bénédictin du monastère de Saint-André à Bruges, entré en 1964. Après des études à Anvers, Rome, Jérusalem et Nimègue en philosophie, philologie classique, théologie et spécialisation biblique, il a enseigné lEcriture sainte et la Christologie à lInstitut international Gaudium et Spes, au monastère de Bruges, donné des cours sur le Nouveau Testament à Rome Saint Anselme et à Bangalore Sint Peters Seminary.Quelques mots sur Benoît Standaert Benoît Standaert est moine bénédictin, de l’abbaye de Saint-André près de Bruges. Il vit aujourd’hui en ermite près de Malmedy. Exégète et auteur spirituel, il a commenté notamment L’Évangile selon Marc Gabalda, 2010 et rédigé plusieurs ouvrages de spiritualité, dont Sagesse comme art de vivre Bayard, 2009 ou Les trois colonnes du monde Albin Michel, 2012, avec une application originale de cette triple clef à saint Paul Le ministère de Paul. Parole, prière, miséricorde Médiaspaul, 2016.Appréciations 0 Il n'y a pas encore d'appréciations pour cet article.
4Première étape pour régler les conflits d’argent : ne pas juger les dépenses de l’autre. 4.1 La légitimité de la dépense. 4.2 On est ce que l’on consomme. 4.3 Tenir compte du contexte familial. 5 Deuxième étape : faire l’inventaire objectif des dépenses du couple. 5.1 La base d’une discussion factuelle.
à propos de la perte, de la mort et de l’irrémédiable Le jour de l’enterrement de sa mère, C. a été piquée par une abeille. Il y avait beaucoup de monde dans la cour de la maison familiale. J’ai vu C. dans l’infini de ses quatre ans, être d’abord surprise par la douleur de la piqûre puis, juste avant de pleurer, chercher avidement des yeux, parmi tous ceux qui étaient là, celle qui la consolait depuis toujours, et arrêter brutalement cette recherche, ayant soudain tout compris de l’absence et de la mort. Cette scène, qui n’a duré que quelques secondes, est la plus poignante que j’aie jamais vue. Il y a une heure où, pour chacun de nous, la connaissance inconsolable entre dans notre âme et la déchire. C’est dans la lumière de cette heure-là, qu’elle soit déjà venue ou non, que nous devrions tous nous parler, nous aimer et même le plus possible rire ensemble. » Christian Bobin, Ressusciter », Éditions Gallimard. La vie est injuste Comment la nature peut-elle être aussi injuste ? J’avais pourtant mis toutes les chances de mon coté pour avoir un bébé en bonne santé, alors que certaines personnes n’en font même pas la moitié et ont de beaux bébés. Et le mien… Je n’ose même pas dire ce qu’il a. Je ne comprends pas. J’ai fait tout ce que le médecin m’a dit, à la lettre. La vie est trop injuste ! Mon fils a eu un terrible accident avec sa moto samedi en fin de matinée… il est mort sur le coup… j’ai beaucoup de mal à écrire ça car je n’arrive pas à y croire. Il venait d’avoir 20 ans. Il était tellement heureux de se payer sa première moto. Quand je pense à toutes les choses qu’il ne connaîtra pas, il laisse un vide terrible… Je me demande pourquoi lui ? Pourquoi nous ? C’était un gentil garçon, discret, respectueux et apprécié de tous. Pourquoi une telle injustice ? Mon père a travaillé dur pendant toute sa vie, et quelques jours avant sa retraite, il nous a dit, à mes frères et moi Ah, je vais enfin pouvoir me reposer et passer du temps au jardin ». Mais six mois après, il était mort. C’est vraiment pas juste ! Quand l’être humain se retrouve aux prises avec une douleur insurmontable, une douleur qui l’étrangle presque, il se débat, refuse la réalité et croit n’avoir pas d’autres ressources que de crier à l’injustice. Pourquoi moi ? » La douleur insurmontable nous rend totalement égocentriques nous aurions préféré que quelqu’un d’autre la subisse. Un certain contexte judéo chrétien du dieu vengeur nous inciterait même à penser que certains mériteraient la punition divine – parce qu’ils se sont mal comportés – mais moi qui n’ai rien fait, moi qui suis innocent, pourquoi devrais-je souffrir ? N’est-ce pas nécessairement injuste ? » La souffrance serait-elle fondamentalement injuste ? Qu’est-ce que l’injustice ? La notion d’injustice peut être appréhendée de deux manières bien différentes. Par définition, la justice juge toujours par rapport à quelque chose, que ce soit la loi ou la conception que chacun a du Bien. Dans la mesure où il y a un contrat établi entre l’homme et la société et que ce contrat – aussi appelé la loi » – dit qu’il ne faut pas voler, on trouvera par exemple juste qu’un homme qui n’a pas respecté ce contrat soit condamné pour vol. A contrario que ce voleur ne soit pas condamné nous paraîtra, à juste ! titre, injuste. Par une dérive insidieuse, nous en arrivons à trouver juste d’être en bonne santé, de correctement gagner sa vie, d’avoir de beaux enfants… et tout ce qui viendra casser ce bel équilibre rêvé ou inventé par notre idéal sera considéré comme injuste. Or où est la loi non écrite le contrat entre la vie et nous qui stipule qu’une future mère donnera toujours naissance à un bébé en bonne santé, que ceux qui ont travaillé pendant plus de quarante ans vivront au moins vingt ans à la retraite pour en profiter, que les cyclones, tremblements de terre, tsunamis ne peuvent pas se produire, que les jeunes à moto n’auront jamais d’accidents, etc. ? Qui parmi nous a signé un contrat avec dieu, la vie, le destin, son père ou sa mère pour être assuré de ne pas souffrir ? Auquel cas il y aurait rupture du contrat… et injustice ! Alors pourquoi crions-nous à l’injustice ? Nous nous disons sans doute inconsciemment que si nous acceptons ce qui nous paraît atroce, cela va lui donner plus de réalité. Et que si nous refusons que ce qui est soit autre nom du déni nous allons moins souffrir. Or nous allons voir que ce n’est pas le cas, bien au contraire ! Petite ou grande souffrance, il n’y a aucune injustice à souffrir. Il n’y a aucune injustice à ce que mon enfant soit handicapé. Il n’y a aucune injustice à ce que mon père meure quelques jours après son départ en retraite. Il n’y a aucune injustice à ce que mon fils de vingt ans se tue dans un accident de moto. Pourquoi ? Simplement parce qu’il n’y a pas eu de contrat, parce que personne n’a jamais eu le pouvoir de l’interdire. Ce qui n’empêche évidemment pas de souffrir. Mais le fait de ne pas se révolter contre les faits change complètement notre relation à la souffrance, c’est ce que nous verrons par la suite. La vie est cruelle Comment pouvons-nous nommer le fait que les desseins de la vie ne correspondent pas toujours à ce que nous aurions souhaité ? Tout juste pouvons-nous dire que c’est pas de chance », en comparaison avec ce que nous aurions espéré ou voulu. Nous sommes tous contraints à vivre dans un monde dans lequel nous sommes impuissants à faire en sorte que les événements arrivent comme nous le voulons. Nous pouvons légitimement nous employer à tout faire pour mettre les chances de notre côté, mais ils continueront d’arriver… comme ils arrivent. Par exemple, nous avons organisé le mariage de notre fille unique un 1er août en Provence, persuadés que l’époque et le lieu choisis par nous nous assureront le beau temps. Et ce jour-là, pour la première fois depuis des années à cette date-là, il pleut des cordes. Il va bien falloir un jour que nous comprenions que ce n’est pas nous qui décidons, alors même que nous avons la fausse impression de tout avoir contrôlé. Même quand la vie nous impose des événements qui ne coïncident pas avec ce qui nous convient, nous savons maintenant qu’elle n’est pas injuste il n’y a pas eu de contrat, alors nous disons qu’elle est cruelle ». Car nous souffrons. La première des Quatre Nobles Vérités énoncées par le Bouddha après son illumination s’énonce ainsi Tout est souffrance. Etre uni à ce que l’on n’aime pas est souffrance, être séparé de ce que l’on aime est souffrance. » Comment s’en sortir ? A une mère tordue de douleur qui n’acceptait pas la mort de son enfant et qui le suppliait de le faire revivre, le Bouddha aurait répondu Je t’exaucerai si tu trouves une seule maison qui n’a pas connu la mort. » On dit qu’après plusieurs années de souffrance et d’errance, la femme est revenue en paix, se prosterner aux pieds du Bouddha. Qu’avait-elle compris ? Elle avait vérifié par elle-même que toutes les maisons des hommes avaient connu la mort. Elle avait donc compris que la souffrance fait partie intrinsèque de la vie et que comme avec tout ce qui est », chacun est obligé de faire avec. » Ordinairement, nous nions la réalité de ce qui ne nous convient pas. C’est ainsi que par notre résistance, nous nions une partie de notre expérience et c’est cela qui nous condamne à souffrir davantage. A chaque fois que nous refusons de souffrir au moment où nous souffrons, nous nous blindons, et nous renforçons l’intensité de la souffrance en nous. Nous souffrons davantage encore en ajoutant la souffrance de notre refus c’est injuste, à notre souffrance première par exemple, mon cœur est transpercé par la mort de ma mère. Oui, la vie est cruelle, c’est ainsi, et nous aurions avantage à apprendre à nous laisser transpercer le cœur plutôt qu’à vouloir le blinder. Et si c’était au moment où la nuit est la plus noire que nous étions au plus près du point de l’aurore ? C’est en intégrant la souffrance qui est la nôtre et non en la rejetant que nous avancerons sur le chemin de la paix. Pour illustrer Voici quelques jours, je recevais ce message d’une mère musulmane Mon fils, hier soir, a oublié de fermer une des portes des trois poulaillers. Ce matin je me suis aperçu qu’il manquait sa poule qu’il a depuis qu’elle est petite ainsi que ses poussins. Il ne reste qu’un poussin sur les sept. Un prédateur a dû les prendre. Mon fils était très attaché a cette poule. Il l’avait apprivoisée et j’angoisse de lui annoncer. Il a dix ans. » La situation n’est-elle pas infiniment cruelle ? Le cœur d’une mère est transpercé par la douleur parce que son enfant va se confronter violemment à l’inéluctable et à la mort. Non, l’arrivée de ce prédateur n’est pas injuste pas de contrat entre le prédateur et les gens qui élèvent les poules. Non, la mort de la poule de cet enfant n’est pas injuste pas de contrat entre le désir de cet enfant pour sa poule et la vie de la poule. Non, la souffrance de cet enfant n’est pas injuste pas de contrat entre le désir de la mère que son enfant ne souffre pas et la vie. C’est l’amour de cette mère pour son enfant qui lui donnera la force de traverser sa propre souffrance et de s’ouvrir pleinement à la vie telle qu’elle est, accompagnant par là-même son enfant à s’ouvrir à son tour à la vie telle qu’elle est. La colère*, émotion liée à l’injustice, trouve son sens quand elle est légitime, c’est-à-dire quand il y a eu transgression d’un contrat, elle peut servir alors à nous donner l’énergie de nous confronter à celui qui a rompu le contrat ; mais quand elle est illégitime, c’est-à-dire quand elle s’exprime indûment, elle ne fait que masquer la tristesse, elle devient un piège qui nous empêche de devenir vulnérable à la vie – même quand elle est cruelle avec nous – qui nous empêche de pleurer tout notre saoul, par exemple. Nous avons tous besoin de devenir vulnérables car c’est la vulnérabilité à la souffrance qui attendrira notre cœur. En fait il n’y a que l’amour qui peut nous donner la force de transcender la souffrance en nous permettant d’aller au-delà, or l’amour ne peut se déployer que dans la vulnérabilité. C’est ce que vit cette mère qui angoisse d’annoncer à son enfant la cruauté de la vie mais qui ne recule pas et assume son rôle par amour. En guise de conclusion Dans une société qui veut nous rendre la vie belle et nous abuse en nous laissant croire la perte, la maladie, la solitude et la mort injustes, le grand défi est d’oser se confronter à la souffrance la sienne et celle des autres en ne s’en protégeant pas. C’est à cette condition et dans le souvenir de cette souffrance commune que nous pouvons nous rencontrer et nous comprendre, comme l’exprime si bien C. Bobin dans le texte introductif à cet article. * Voir à ce propos mon article Oser la colère, oser être vrai avec soi-même » © 2013 Renaud & Hélène PERRONNET Tous droits réservés. ————– Moyennant une modeste participation aux frais de ce site, vous pouvez télécharger l’intégralité de cet article 5 pages au format PDF, en cliquant sur ce bouton —————- Pour aller plus loin, vous pouvez aussi lire Le travail de deuil L’enfant et la mort J’ai peur que ma petite fille de 5 ans n’ait été secouée par un décès Vous pouvez aussi télécharger la fiche pratique inédite Apprendre à se détendre …et regarder la vidéo Pour adultes seulement ÉVOLUTE Conseil est un cabinet d’accompagnement psychothérapeutique et un site internet interactif de plus de 8 000 partages avec mes réponses. Avertissement aux lectrices et aux lecteurs Il est possible que les idées émises dans ces articles vous apparaissent osées ou déconcertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expérience, je ne vous invite pas à croire ces idées parce qu’elles sont écrites, mais à vérifier par vous-même si ce qui est écrit et que peut-être vous découvrez est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions et peut-être de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes. Cliquez ici pour en savoir plus sur qui je suis Cliquez ici pour en savoir plus sur Évolute Conseil
Maislui en tant que « lui », ce n’est pas trop ça. Il ne me plaît plus vraiment, on est trop différent. Je reste parce que la situation est sécurisante, facile à vivre. Et pour ma fille
ACCUEILAGENDABLOGArticlesTemoignagesVideosFaire un donLiveSearch Home/Blog/"Ce n'est plus moi qui vit, mais Christ" par le pasteur Patrice TRULES"Ce n’est plus moi qui vit, mais Christ" par le pasteur Patrice TRULES Source Facebook ADD Evreux Replays VidéosAoût / 2022Août / 2022Août / 2022Août / 2022Août / 2022Nous contacter !Contactez nous voir le culte ?Rendez vous sur la page "Live"ou sur notre chaîne YouTube Nous suivre sur FacebookJ'aimeNous suivre sur InstagramS'abonnerFaire un donDéductible d'impôtS'abonner à notre chaîne YouTubeS'abonnerVoir le culte en directGo
Publiéle 24 août 2022 à 12h15 par Thomas Bourseau Dimitri Payet vit des moments compliqués à l’OM. Outre sa situation sportive qui n’est clairement plus la
Annonce Votre navigateur ne supporte pas la balise HTML5 video. La réincarnation est souvent décrite comme étant une issue possible pour chacun d’entre nous lorsque nos corps physiques meurent. Mais nous nous demandons rarement si nous sommes des êtres réincarnés. Ce n’est pas un hasard si vous avez parfois le sentiment d’avoir vécu ici auparavant tout en maintenant un intérêt pour la spiritualité simultanément. À un moment donné, nous devons regarder en nous-mêmes et nous demander si nous vivons actuellement en tant que réincarnation. Annonce La plupart des gens ne lisent pas d’articles comme celui-ci. Ils ne croient pas en l’existence de l’âme, et nient également l’existence de la réincarnation. Il est fort probable que vous ne soyez pas qu’un simple numéro dans la population humaine. Vous avez des qualités spéciales qui vous distinguent des autres. C’est parce que vous faites partie d’un groupe spécial de personnes qui se sont délibérément réincarnées ici. Peut-être que vous êtes venu ici pour aider les autres à évoluer, pour alléger le karma, ou pour évoluer en tant qu’âme. Quelle que soit la raison, voici trois signes qui indiquent que vous avez été réincarné dans cette vie 1 Votre vie est remplie de leçons Depuis l’enfance, votre vie est remplie d’enseignements. Soit vous avez vécu beaucoup de choses sur le plan émotionnel, soit vous êtes une personne de caractère et de nature réfléchie et tirez des leçons de n’importe quelle situation. Dès votre plus jeune âge, vous avez toujours eu des expériences qui vous ont fait réfléchir et évoluer. Certaines personnes semblent vivre leur vie sur pilote automatique, mais vous, vous êtes conscient de ce qui se passe. Et grâce à cela, vous avez beaucoup de sagesse que vous pouvez offrir aux autres. En fait, vous avez même commencer à regarder les difficultés comme des occasions d’évoluer et à les accepter dans votre vie. C’est une dynamique de la réincarnation, dans le but d’évoluer en tant qu’âme. Vous avez tendance à relever les défis de la vie qui vous obligent à grandir et évoluer, et tout cela fait partie du plan. Votre vie est plus remplie de réflexion et de croissance spirituelle que la personne moyenne, parce que vous êtes venu ici avec la mentalité de traverser cette vie comme une école pour votre âme. Vous n’êtes pas seulement venu ici pour construire un nid douillet et ensuite mourir. Vous êtes venus ici avec la mission d’évoluer. 2 Vous n’êtes pas facile à embobiner Vous n’êtes pas naïf sur le plan social. Vous êtes venu ici autrefois, donc vous avez une capacité naturelle à décrypter les états psychologiques des autres individus. Vous n’êtes pas aussi influençable que les autres, et c’est pour cela que vous avez du mal à prendre certaines informations au sérieux. Vous êtes aussi plus conscient des futilités, et des messages subliminaux qui font tache. Annonce Vous pouvez voir à travers les gens et leurs intentions réelles, c’est pourquoi les gens ont du mal à vous mettre à terre. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être doté d’un détecteur spécial de baratin, et cela n’est pas juste dû au fait que vous avez un code génétique différent des autres personnes. Depuis tout petit, vous avez été capable d’obtenir un très bon discernement sur les gens. C’est parce que vous avez vécu ici quelques fois et que vous êtes familier avec les différents types de jeux psychologiques auxquels les gens aiment jouer. Vous reconnaissez les signes quand vous les voyez. 3 Vous vous lassez de rentrer chez vous Vous ne savez peut-être pas où se trouve votre maison » en ce moment, mais vous savez qu’elle n’est pas ici. Vous savez que, quelque part au fond de votre âme, la planète Terre n’est pas votre destination finale. Parce que vous savez que la Terre n’est pas vraiment votre maison, vous sentez parfois un malaise profond et l’endroit où vous existiez avant de venir ici commence à vous manquer .Nous pouvons l’appeler le ciel ou le monde des esprits, et quelle que soit l’expression employée, vous savez dans votre âme que votre vraie maison est située dans un royaume au-delà du physique. Ce n’est pas tout le monde qui a ce mal du pays. Certaines personnes peuvent se demander de quoi parlez vous exactement, et que ce lieu est bien évidement la maison. » Mais vous, vous êtes venu sur Terre et êtes retourné suffisamment de fois dans le monde spirituel, l’endroit d’où vous venez vraiment. Vous ne pouvez sans doute pas mettre le doigt sur la raison de cette sensation particulière, et votre esprit ne peut pas la comprendre, mais votre âme est la nostalgie du confort de votre maison. Cette nostalgie peut aussi être causée par le fait d’avoir des membres de la famille dans l’au-delà avec qui vous étiez avant de venir ici, qui attendent vous ayez fini votre mission dans cette vie pour vous revoir. Si vous lisez ceci à cet instant même, prenez un moment pour réfléchir à votre vie et à la manière dont vous interagissez avec elle. Croyez-vous que ce soit votre première venue ici? Est-ce que quelqu’un vous a déjà dit que vous aviez une vieille âme? Considérez cette vie comme une mission. Vous êtes venu ici pour un but. Vous êtes unique. N’oubliez pas de détecter les signes que l’univers vous envoie chaque jour. Après 3 signes qui indiquent que vous êtes réincarné dans cette vie voir aussi Voir plus Article précédent La signification et les signes astrologiques amérindiens Article suivant 12 manières de reconstruire sa vie et de la rendre réellement incroyable Je pense que ma passion pour l'astrologie me vient de mon père. Lorsque j'étais petite, j'étais fascinée par les étoiles, je me souviens que j'allais souvent dans le jardin avec lui la que l'astrologie ne soit pas une science exacte, elle est tout de même capable de donner des informations d'une grande précision, que ce soit pour l'amour, la carrière, ou l'avenir entre autres choses. Merci à vous d'être toujours aussi nombreux à me lire chaque jour.
Sije vis ce n est plus moi qui dit oui; Diam’s révèle de quoi elle vit depuis qu’elle a arrêté la musique - Voici; L'occasion pour la mère de famille d'évoquer son amie Vitaa, de qui elle est restée très proche malgré son retrait du monde de la musique. " Je suis heureuse quand ma copine l'est. Après, j'ai peur pour elle des
Qu'est-ce que le Baptême ? le baptême compris par un enfant " Le Baptême, c'est quand Jésus est né dans mon cœur ". Voilà ce que disait un enfant de cinq ans. Et c'était rudement bien vu. En effet, il avait fait l'équivalence 1- Jésus Dieu fait homme vient habiter en nous, " naître dans notre cœur ", là où l'on aime, par le Baptême 2- Le Baptême est en même temps notre propre naissance à la vie de Dieu. une nouvelle vie Le Baptême, comme disait l'enfant, c'est le début d'une nouvelle vie, une naissance " le Baptême constitue la naissance à la vie nouvelle dans le Christ " Catéchisme de l'Eglise catholique, n° . Cela veut dire une vie nouvelle avec Dieu, et même dit Saint Paul, l'un des premiers disciples du Christ, " une création nouvelle " 2e épître aux Corinthiens ch. 5, verset 17 . Le Baptême nous fait devenir " fils ou fille adoptifs de Dieu le Père", frères de Jésus Christ, Dieu le Fils. on apprendra tout cela en détail et l'on pourra poser ses questions au cours de la préparation au Baptême, le " Cathéchuménat ". Et si nous devenons par le Baptême " enfants de Dieu-le-Père et frères de Jésus-Christ ", nous pourrons vivre avec lui éternellement dans le Ciel. Après notre mort, comme Jésus-Christ, nous ressusciteront. Mais, dès notre Baptême, dans notre vie ici-bas, nous devenons réellement frères adoptifs de Jésus-Christ. Par le Baptême il nous donne la rémission de nos péchés et fait entrer la vie divine en nous. C'est pour cela qu'on parle d'une " naissance ". un don Le Baptême, c'est quelque chose qui nous est donné, c'est une grâce. " La grâce ", c'est un don de Dieu pour les hommes, le Baptême, c'est la grâce d'une vie nouvelle avec le Christ vivre comme il vit , aimer comme il aime. que veut dire " baptiser " ? Le mot " baptiser " signifie au sens premier, en grec, plonger dans l'eau. Depuis deux mille ans de Christianisme et de baptêmes, il est devenu synonyme de d'entrer dans l'Eglise des Chrétiens par une cérémonie où l'on verse de l'eau sur la tête. Lors du Baptême en effet celui qui le reçoit soit est plongé entièrement dans l'eau, par trois fois, " Baptême par immersion ", soit reçoit plus simplement, par trois fois également, l'eau du Baptême sur la tête. Cela signifie que " nous sommes plongés dans la mort du Christ " et " promis à participer à sa résurrection ", enfin que dès maintenant à travers cette eau bénie nous recevons la source d'une vie nouvelle, " la Grâce de Dieu ". le pardon des péchés Le Baptême nous purifie de tout le mal que nous avons pu accomplir auparavant, par lui Dieu nous pardonne tous nos péchés c'est à dire les fautes contre l'amour de Dieu, contre l'amour des autres, contre l'amour de soi-même. Par l'eau, par la grâce du Baptême tout est effacé nous sommes tout neufs, " une création nouvelle ". En même temps le Baptême rompt notre solidarité avec le péché des origines, ce mystérieux " péché originel " il nous fait entrer dans la solidarité de Jésus-Christ, le nouvel Adam " Adam ", voir ci-dessous. qu'est-ce que " le péché originel " ? Un premier homme et une première femme, au cours de l'évolution, ont reçu le cadeau extraordinaire de la dignité humaine et de la capacité d'aimer librement. C'était le don de Dieu, une vie d'amour et une promesse de vivre pour l'éternité dans la compagnie de Dieu. Ce premier homme et cette première femme qui avaient reçu ce don de l'amour sont appelés pour la commodité " Adam " et " Eve ". Nous connaissons leur histoire dramatique à travers ses conséquences. La " Bible " est le rassemblement de tous les textes à travers lesquels Dieu nous dit qui il est et qui nous sommes. Le premier livre de cette " Bible ", la Genèse, raconte de façon imagée qu'Adam et Eve ont rompu volontairement l'union d'amour, l'alliance, qu'ils avaient avec Dieu leur créateur, entraînant une solidarité pour leur descendance. Cette rupture de l'alliance est une réalité dont nous éprouvons tous les conséquences par notre difficulté à aimer vraiment, à être bons, à n'avoir aucune compromission avec le mal dans le monde. En sorte qu'aucun des hommes ne peut se dire en vérité " innocent de tout mal ". Souvent nous " faisons le mal que nous ne voulons pas et nous ne faisons pas le bien que nous voudrions ". Nous avons une tendance au mal, à ne pas aimer ou à mal aimer. Et tous les hommes cherchent à leur façon, confusément, à sortir du mal, à avoir une meilleure image d'eux mêmes, à se " purifier ". C'est cette purification que certains recherchent par l'idée de réincarnations successives au cours desquelles on deviendrait peu à peu meilleur ; d'autres proposent un chemin de jeûnes, d'exercices physiques comme le yoga, ou mentaux par des " méditations trancendantales ", voire par des régimes alimentaires, des " éléments ", des " pierres ", des " métaux ", des " énergies "… Le Baptême, c'est beaucoup plus simple Dieu lui-même, l'Innocent de tout mal, lui qui non seulement est bon, mais est la Bonté elle même, vient à notre secours à travers l'eau du Baptême, il efface tous nos péchés et nous donne la grâce d'aimer. Seul Celui qui est Bon peut me faire devenir bon. pourquoi Jésus-Christ est-il appelé " Notre Sauveur " ? Après la rupture de l'alliance d'amour avec Dieu du premier homme et de la première femme, Dieu ne se console pas de voir les hommes aller à leur perte, à la mort. Il va leur proposer " une nouvelle alliance ", et pour cela il envoie vers eux son Fils. Par amour pour nous, Dieu-le-Fils se fait homme comme nous. Il prend un corps et une âme en naissant de la Vierge Marie à Betléem en l'an 1 de notre ère à peu près, sans doute 6 ans plus tôt. Son nom est Jésus, ce qui veut dire " Dieu sauve ". Les livres appelés " évangiles "rapportent sa vie et ses paroles. On donne à Jésus le titre de " Christ ", ou " Messie " parce qu'il est le " consacré " de Dieu. " Christ " en grec, " messie " en hébreu veulent dire " consacré ", qui a reçu l'onction de Dieu. Jésus-Christ annonce pendant sa vie terrestre, historique, " le Royaume de Dieu ", c'est à dire la voie pour être purifié de ses péchés, grandir dans une vie d'amour et retrouver l'amitié avec Dieu. Pour toujours, c'est à dire pour l'éternité. Mais son message n'est pas accueilli par les responsables religieux et politiques de l'époque. Finalement il est mis à mort sur une croix. Cette mort, il l'accepte volontairement, par amour pour nous. Il a offert sa vie pour nos donner le salut de Dieu. Il est mis au tombeau. Mais le troisième jour il ressuscite, et répand l'Esprit Saint sur ses disciples " les Apôtres ". Ces disciples, témoins de sa vie, de son enseignement et de sa résurrection, vont annoncer l'Evangile jusqu'aux extrémités de la terre Cela continue aujourd'hui. Jésus-Christ après sa Résurrection, et avant sa montée au Ciel, l'Ascension, a confié en effet urne mission à ses disciples " Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit " évangile de Saint Matthieu, ch. 28, v. 19 . Pour résumer la venue de Jésus-Christ, Fils de Dieu, pour nous sauver, voici un résumé dans l'Evangile de Saint Jean " Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils Unique afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle Car Dieu n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. " évangile de saint Jean, v. 16 et 17. que faut-il faire pour être baptisé ? Pour recevoir le Baptême, il faut le demander. En vérité et d'un cœur sincère. Celui qui demande le Baptême reconnaît Jésus-Christ comme " Le Seigneur ", c'est à dire Dieu ; il croit en Dieu trinité, Père, Fils et Esprit. Il croit à l'évangile, c'est à dire aux paroles de Jésus, qui lui est donné par l'Eglise. Il croit à l'Eglise Catholique à qui Jésus a confié la mission de faire connaître son évangile au monde. C'est cela que l'on appelle la foi. La foi, c'est la confiance en Dieu, la confiance dans les promesses de Jésus-Christ. L'Eglise nous transmet ces promesses à travers l'évangile et les " sacrements ". Le Baptême est le premier des Sacrements, l'entrée. La foi, la confiance en Dieu est un don de Dieu, une grâce. Ce don est accueilli librement. Et si le don de la foi est accueilli par nous, elle va grandir - pendant la préparation au Baptême Catéchuménat ; - et encore plus à partir du Baptême. Il n'est donc pas nécessaire d'avoir " une foi complète " pour demander à être baptisé. Pendant la cérémonie du Baptême, on demande au Catéchumène ou à son parrain si c'est un petit enfant " Que demandez vous à l'Eglise de Dieu ? " et il répond " La foi ! " Avec le baptême, avec cette grâce d'une nouvelle vie dans le Christ, notre désir de connaître Dieu, notre amour et notre confiance en lui vont augmenter. La communauté des baptisés, l'Eglise, nous y aidera. que fait-on après le Baptême ? A partir du Baptême commence toute une vie de foi, d'espérance et d'amour. Cela durera jusqu'à notre mort terrestre et à la rencontre face face avec Dieu dans le Ciel. Une fois baptisé, on peut expérimenter une paix et une joie profondes et durables qui ne viennent pas de nous. Parfois il y a des hauts et des bas, c'est le combat pour l'amour et la vérité. Le Seigneur Dieu vient à notre aide ; il nous envoie l'Esprit Saint pour nous guider et nous fortifier ; il nous donne sa grâce. Il nous soutient par la Communauté chrétienne selon le mot de l'Ecriture, " un frère pour un frère, c'est une tour fortifiée ". Dans le sacrement de l'Eucharistie, qu'on nous expliquera au cours de la préparation au Baptême, nous recevrons de nouvelles forces pour vivre en Chrétien. Et peu à peu nous accueillerons cette grâce du baptême plus profondément. Nous l'accueillerons bien sûr dans notre vie de prière, mais aussi dans notre travail, notre vie de famille, nos relations sociales. Alors, comme Saint Paul nous pourrons dire " Ce n'est plus moi qui vit, c'est le Christ qui vit en moi ! " Par notre Baptême, Dieu nous ouvre le Ciel. C'est notre espérance, comme il est dit au célèbre " Livre de Job " dans " l'Ancien testament ", la Bible avant l'évangile, 500 ans environ avant Jésus " Je sais que mon Rédempteur est vivant que lui, le dernier, se lèvera sur la poussière. Après mon éveil, il me dressera devant lui Et de mes yeux de chair je verrai Dieu. " Job, 19, et 26 Mais dès maintenant, baptisés, sans voir encore le Christ, nous avons déjà une joie que nul ne peut nous enlever " Sans l'avoir vu, vous l'aimez ; sans le voir encore, mais en croyant vous exultez d'une joie indicible et pleine de gloire , sûrs d'obtenir l'objet de votre foi le salut de vos âmes. " 1ère épître de Saint Pierre, 1, le baptême est-il possible pour des adultes ? Chaque année, même dans un pays traditionnellement catholique comme la France, des milliers d'adultes demandent le Baptême. Si l'on n'a pas été baptisé enfant, on peut demander le Baptême à tout âge. Même à 90 ans passés, comme Madeleine, cette dame qui était dans un service d'hôpital pour personnes âgées. On peut s'adresser à l'accueil dans les églises de ville, qui nous mettra en rapports avec le prêtre responsable, le " cur ". Dans la campagne, on s'adresse au prebytère. Vous pouvez encore prendre contact par internet avec notre service d'évangélisation qui vous facilitera le contact avec un prêtre et des chrétiens de votre région - dossiers Si vous avez des questions, consultez le site " Questions de l'homme ", où sont proposées un certain nombre de réponses à des questions habituellement posées. est-ce qu'un enfant peut être baptisé ? Oui, évidemment, c'est le cas le plus habituel dans nos pays ; le Baptême est un don de Dieu, il n'est pas la récompense d'un travail intellectuel. Il n'y a pas d'âge minimum requis pour recevoir cette grâce. Par le Baptême, la vie d'union avec Dieu dans l'amour peut commencer aussitôt que la vie humaine. Dès la naissance donc, tout enfant peut être baptisé si ses parents le demandent, et s'ils promettent de l'éduquer dans la foi au Christ. L'instruction de l'enfant concernant Jésus-Christ et la Trinité, l'Eglise et les Sacrements s'appellera " Catéchisme ". l'enfant baptisé jeune sera-t-il libre ? Bien sûr, tout comme un baptisé adulte, l'enfant en grandissant aura toujours la liberté de continuer à dire " oui " à son baptême, à la vie avec le Christ. Le Baptême est une grâce pour la vie, mais c'est une grâce à laquelle on dit " oui " chaque jour, librement, c'est à dire avec amour. Mais les parents chrétiens seraient vraiment peu aimants pour leur petit enfant de lui refuser ce don de Dieu qu'est le Baptême. Ce don qu'ils ont eux même reçu et grâce auquel ils peuvent mieux aimer, mieux espérer les petits enfants ont une vie spirituelle Il faut savoir que les tout-petits ont réellement une " vie spirituelle ", c'est à dire de sensibilité à Dieu, d'amour pour lui. Si les parents prient avec leurs jeunes et même très jeunes enfants, ils découvriront cette vie spirituelle de leurs enfants. Ils recevront eux même un grand encouragement à leur vie avec le Christ en voyant la confiance des enfants. Ils recevront des lumières de l'Esprit saint à travers des réflexions des enfants voir l'enfant parlant du baptême dans le tout premier paragraphe de cette brochure. Dieu n'est pas la propriété des adultes. Il connaît une façon de parler au cœur des enfants bien avant l'âge de raison " Je te bénis , Père, Seigneur du Ciel et de la terre, d'avoir caché cela aux sages et aux intelligents et de l'avoir révélé aux tout-petits ". évangile de Saint Luc, 10, Pour en savoir plus - Pourquoi j’ai demandé le Baptême - musulmane, pourquoi j’ai demandé le baptême . 387 248 252 162 107 438 281 309

ce n est plus moi qui vit